Inondations, sécheresses, ouragans, accidents nucléaires et déversements pétroliers, détérioration des eaux, des sols, de l’air: devant ces catastrophes vécues par nombre de populations, particulièrement dans les pays dominés par l’impérialisme, des voix s’élèvent et tentent de trouver les causes de ces phénomènes et d’y amener des solutions. Dans leur grande majorité, les courants écologistes et verts depuis 40 ans ne remettent pas en cause les rapports sociaux de production capitalistes. Nous ferons un bref retour sur le parcours de l’écologie politique en traitant particulièrement de <i>l’écosocialisme</i>, qui semble en apparence lier environnement et capitalisme, mais qui propose finalement un «New Deal» vert. Au-delà des alternatives écologistes, il y a un conflit de classe où nous devons prendre parti pour le prolétariat d’ici et d’ailleurs; prendre parti pour la révolution. Présentation, suivie d’une discussion.