En résistance au colonialisme et à la destruction qui l’accompagne, construisons ensemble des liens plus forts avec les espaces sauvages autour de nous.
Avec un peu de pratique, nos sens peuvent nous révéler tout ce qui se cache de liberté et de vie non- domestiquée, au milieu des forêts, et dans la ville, aussi. Au lieu de suivre nos sens brouillés par la routine urbaine, prenons le temps de suivre notre curiosité, et des motifs naturels délicats et complexes vont se dévoiler. Dans les coins sauvages et oubliés de la ville se cachent des secrets porteurs d’espoir, ceux des sentiers d’animaux et des écosystèmes les plus résilients.
L’introspection, l’immobilité, l’émerveillement sont autant d’outils que nous allons explorer pour
renouveler nos liens avec ces plantes qu’on voit si souvent comme des mauvaises herbes inutiles, et qui sont en fait les premières forêts à s’établir dans des conditions difficiles et destructives. Nous nous laisserons toucher par le travail des peupliers, saules, verges d’or, sumac, bardane, et tous ces arbres qui poussent là ou on ne les veux pas.
Durant cet atelier, nous parlerons aussi de quelques-unes des théories derrière la bioremédiation, et nous explorerons les 5 façons principales dont les plantes peuvent guérir les sols contaminés: dégradation, extraction, stimulation des micro-organismes, volatilisation et stabilisation.
Il y aura une traduction chuchotée en français
Cet événement aura aussi lieu à La Belle Époque, 1984 rue Welligton, dimanche le 12 mai à 14h
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